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Hans Sebald Beham
Titre: Eurytus Roi, fils de Iole mise à mort du père
sur les ordres d 'Hercule
Année: 1544
dimensions illustration : 7.9 cm x 5,2 cm
Restauré par une Galerie d'Art à Lyon (angle droit ébréché)
Au verso, mention manuscrite: "Collection Gréssenbauer Père"
Prix: 1600 €
réf:#HS_Beham
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Bernard Buffet
Titre : Torero
Année :
Dimensions papier : 75 x 54 cm
Dimensions illustration : 68 x 47 cm
Numéro tirage : 23/150
Lithographie originale, signée au crayon
Etat : parfait
Encadré moulure dorée, sous-verre : 99 x 79 cm
Prix 1000 € vendu
ref: #B_Buffet1
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Leonor Fini
Titre : Portrait
Année:
Dimensions papier :
Dimensions illustration : 45 x 35 cm
Numéro tirage : 89/200
Lithographie originale, signée au crayon
Etat : parfait
Encadré moulure argent, passe-partout bleu, sous-verre : 62 x 50 cm
Prix 200 €
ref: L_Fini1
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Poulbot
Titre : esquisses
Année 1913
Dimensions illustration et papier : 40,5 x 30 cm
Numéro tirage : 7/40
Lithographie originale, signée au crayon
Etat : très bon
Encadré moulure bois clair, sous-verre : 42 x 32 cm
Prix 300€
ref: F_Poulbot1
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Poulbot
Titre : rêveries
Année :
Dimensions illustration et papier: 46,5 x 37,5 cm
Numéro tirage : 25/120
Lithographie originale, signée au crayon
Etat : très bon
Encadré sous-verre : 51 x 43 cm
Prix 300€.
ref: F_Poulbot2
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Lars Bö
Titre : les 3 soleils
Année :1970.
Dimensions illustration: 50 x 38 cm
Dimensions papier: 65 x 2,2 cm
Numéro tirage : x/150
Lithographie sur pierre en couleur, signée au crayon
Etat : bon
Encadré sous-verre : 51 x 43 cm
Prix
ref: Lars_Bö1
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aquatintes, pointes sèches, carborundum), des gravures sur bois, des
linogravures, des céramiques, des affiches...
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Leonor FINI (Buenos
Aires 1908 - Paris 1996)
Elle est née à Buenos Aires(Argentine), en 1908
de parents italo-argentins. Très jeune, elle part vivre avec
sa mère
dans la famille de celle-ci, en Italie. Léonor Fini étudie à Trieste
, grandit dans un milieu bourgeois et cultivé.
Elle commence à peindre très tôt, admirant d’abord
les peintres du Quattrocento, puis les Maniéristes du XVIe siècle.
Elle s'installe à Paris en 1933 où elle peint : sa technique
est riche et exigeante , ses sujets la rattachent plus au Surréalisme.
Elle participe d'ailleurs à l'exposition qui leur est consacrée à Londres,
en 1936, à la Burlington Gallery. puis à Zurich et Bruxelles.
Sa première exposition française sera organisée à Paris
en 1933. Pour sa première exposition personnelle à New York en
1938, Eluard et de Chirico seront les préfaciers de son catalogue.
Dessinateur, aquarelliste et graveur elle réalise de nombreuses illustrations
d'ouvrages (Poe, "La Tempête " de Shakespeare, Baudelaire "Les
Fleurs du Mal " , Cocteau, " Juliette "de Sade) , elle collabore
longtemps avec le théâtre et l'Opéra, puis le ballet et
le cinéma exprimant ainsi son goût pour la scène et le
spectacle.
Sa peinture montre successivement des silhouettes d’adolescentes, des
paysages fantastiques, des femmes chauves, ces oeuvres sont souvent marquées
par l’étrangeté, par une féminité exacerbée,
un érotisme morbide ...
Elle s'éteint à Paris en 1996, après une riche carrière.
En 1986, une très grande rétrospective de son oeuvre (peintures,
gouaches, aquarelles, dessins, gravures, éditions de bibliophilie, masques)
lui a été consacrée au Musée du Luxembourg à Paris
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Francisque Poulbot
Dessinateur et illustrateur français
Saint-Denis le 06 février 1879 - Paris le 16 septembre 1946
Issu d'une famille d'instituteurs picards, il est l'aîné de
sept enfants, Francisque Poulbot est un élève du lycée
Rollin. Doué pour le dessin, il passe son temps à dessiner au
lieu d'étudier. Il publie ses premiers dessins à l'âge
de seize ans mais il n'ose cependant pas se présenter à l'École
des Beaux-Arts.
Son reportage sur l'affaire de 'Fort Chabrol' - paru en 1899 dans le 'Gil Blas'
le sort de l'anonymat: Poulbot est lancé : ses dessins ne cessent
de paraître dans les publications de l'époque. Il crée
des affiches, participe au renouveau de la poupée française,
il est présent en 1907 au Salon des humoristes et apprend la gravure
avec Eugène Delâtre... Il s'installe à Montmartre et épouse
en février 1914, Léona Ondernard, avant de partir pour le front,
mais il est cependant réformé l'année suivante.
Durant
la Grande guerre, il signe des affiches et des cartes postales patriotiques,
ce qui lui vaudra plus tard, sous l'occupation
allemande,
une assignation à résidence. Ce n'est qu'après la
guerre qu'il crée les Poulbots, créatures dessinées
représentatives de l'univers de l'enfance. Il ne quittera jamais
Montmartre, habite rue Lamarck, rue Cortot, rue Caulaincourt, rue de
l'Orient et finalement dans un hôtel particulier, rue Junot, une
frise d'enfants en décorant la façade. Car Francisque Poulbot
adore les enfants. Il lutte contre la misère sociale et participe à plusieurs
oeuvres de bienfaisance : Ligue nationale contre le taudis, Croix rouge
américaine, Pupilles de l'école publique, etc. Francisque
Poulbot est l'un des symboles de la Butte Montmartre, maître du
dessin et... historien de la guerre.
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Lars Bo (
29 mai 1924 - 21octobre 1999)
Artiste
et écrivain danois, est connu pour ses œuvres graphiques avec
des motifs d'inspiration surréaliste fantastique. Il a été surnommé "Wizard".
Lars Bo a travaillé avec P. Rostrup Boyesen au Statens Museum for Kunst
de la période de 1939 à 1940, et il fréquente l'École
danoise de design de 1941 à 1943, après quoi il voyage en Europe.
De 1947 jusqu'à sa mort en 1999, il vécut à Paris.
De 1948 à 1950 Bo Lars a travaillé au Johnny Friedlaender et Flocons
Albert studio graphique de Paris. Lars Bo a écrit un roman "Det vidunderlige
hus i Paris " (The Wonderful House à Paris).
Lars Bo s'installe à Paris au début des années 1950 pour étudier
l'art et les techniques de la gravure à l'Atelier 17, sous la direction
de Stanley William Hayter. Bo commence alors une longue et brillante carrière
en tant qu'artiste du livre illustré en 1952.
Jusqu'en 1996, il réalise les eaux-fortes et aquatintes pour beaucoup
de grands livres illustrés. Certaines de ses œuvres majeures pour
les éditions classiques de Hans Christian Andersen.
Lars Bo commença à exposer ses impressions individuelles et des
peintures à Paris en 1954. Il est sociétaire des Salons d'Automne,
Le Trait, les Peintres-Graveurs Français, Pointe et Burin et de la Société de
Gronningen. Il expose dans tous les pays du monde et ses œuvres figurent
dans tous
les grands musées. |
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Hans Sebald Beham (Nuremberg, 1500 - Francfort, 1550)
est un illustrateur et graveur allemand, considéré, après la mort d'Albrecht
Dürer, comme l'un des petits maîtres (Kleinmeister) de la grande
tradition de la gravure en Europe.
Né à Nuremberg en 1500 dans une famille hanséatique
très imprégnée par l'art, il était le demi-frère
aîné du peintre Barthel Beham, également illustrateur
et graveur. Il fut chassé de cette ville en 1525 par les luthériens
pour hérésie, ainsi que son frère et son cousin,
Georg Pencz. Les trois artistes furent qualifiés de "peintres
sans dieu". En 1528, Hans est de nouveau banni de la ville mais
cette fois pour plagiat d'un travail inédit d'Albrecht Dürer,
lequel venait juste de mourir, et intitulé Les proportions du
cheval1. Bien qu'il n'ait pas été officiellement, contrairement à son
petit frère, l'élève du maître de Nuremberg,
il est fort probable qu'Hans le côtoya durant ses dernières
années (1521-1528).Dès lors, il passe plusieurs années à exercer
son art dans différentes villes allemandes. On sait que quelques-unes
de ses gravures sur bois furent publiées à Ingolstadt
entre 1527 et 1530. Par la suite, il réside à Munich,
et c'est là qu'il publie une grand format imprimé illustrant
l'entrée triomphale de Charles Quint dans cette ville le 10
juin 15302. Vers 1532 il s'établit à Francfort, y est
nommé citoyen de la ville en 1540 avant d'y mourir en 15503.Auteur
très prolifique, on lui attribue environ 250 estampes
et plus de 1500 gravures sur bois, dont plusieurs livres illustrés.
Il fut également créateur de cartes à jouer, de
papier-peint et de divers objets de décoration raffinés
dont un dessus de table aujourd'hui exposée au Louvre, commande
du cardinal Albrecht, archevêque de Mayence.Francfort est au
XVIe siècle un centre important du livre illustré où pratiquent
les maîtres de la xylographie, laquelle est souvent évoquée
dans la correspondance de Dürer. Divers éditeurs comme
Feyerabend, aidés par Jost Amman, Virgil Solis, Christian Egenolf
et d'autres, se sont consacrés à la publication de nombreux
beaux volumes illustrés de bois, des bibles, des traités
scientifiques et musicaux, des chroniques, des manuels d'apprentissage
et des recueils culinaires.
Adam et Ève, 1543, 82 x 56 mm.Hans Sebald appartient au groupe dit
des Kleinmeister, les "petits
maîtres", en raison du petit format des gravures qu'ils
produisaient pour être vendues à la pièce — il
travaillait à la loupe —, et dont certaines avaient un
caractère licencieux. À ce groupe appartenaient aussi
Barthel Beham, Georg Pencz, et Heinrich Aldegraver4. |
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Bernard Buffet
Paris le 10 juillet 1928 - Tourtour le 04 octobre 1999
Peintre populaire par excellence, Bernard Buffet est
issu de I'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Proche du réalisme
socialiste ou de l'expressionnisme misérabiliste de Francis Gruber
et de Georges Rouault, il est récompensé à 20 ans
par le prix de la Critique. Largement figuratives, ses toiles rencontrent
un vif succès auprès du Docteur Girardin, collectionneur
d'art contemporain, ou d'Emmanuel David, qui propose à l'artiste
d'entrer dans sa galerie avec un contrat d'exclusivité. En 1955,
il obtient la première place au référendum organisé par
'Connaissance des arts', sélectionnant les dix meilleurs peintres
de l'après-guerre. Trois ans plus tard, une rétrospective
de son oeuvre est organisée à la galerie Charpentier. S'ensuivent
celles de l'Institut français de Berlin, puis du musée
d'Art Moderne de Tokyo en 1963, et du musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg
en 1991. L'économie de la matière et des couleurs caractérise
ses oeuvres, qui entrelacent des réseaux de lignes nerveuses et
des figures grises et émaciées. Toiles, aquarelles, dessins,
lithographies et gravures ; Buffet brille autant par son éclectisme
que par son anticonformisme. Nommé chevalier de la Légion
d'honneur en 1971, puis élu à l'Académie des beaux-arts,
il réalise également des décors pour 'Carmen' à l'Opéra
de Marseille, ou pour 'La Valse' de Maurice Ravel à l'Opéra-Comique,
et illustre des ouvrages comme 'Les Chants de Maldoror', 'La Voix Humaine'
de Jean Cocteau, et 'L' Enfer' de Dante. C'est en 1989, qu'Alain-Alexis
Avila publie 'Bernard Buffet', en hommage à ce plasticien prolixe
qui a su, selon les mots de Pierre Descargues, 'témoigner puissamment
du désarroi d'une époque'. ( Evene) |